Art tribal indien, un artiste à suivre : Sanjay Parhad
Deux travaux remarquables et qui ont du sens à l'heure où les paysans de l'Inde son pressés par la modernisation et l’extension des villes. Sanjay peint ce grand écart un peu effrayant.
La vie villageoise apparait dans le cocon protecteur des forêts, avec ses montagnes, ses ressources, ses animaux. Le monde tourne autour d'un centre spirituel marqué par une ronde d'oiseaux (signe du sacré) et d'une stèle à Vaghia, le dieu tigre.
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Tout au contraire, le chaos règne dans les villes avec sa densité, sa circulation intense (on croirait presque en entendre le vacarme !), ses buildings au pied desquels s'active le petit peuple. Ici c'est New Delhi qui est évoqué. Saurez vous reconnaitre le Minaret de Qûtub Minâr, Le fort rouge, la Porte de l’Inde, le parlement ?
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Sanjay, très actif pour la préservation de la culture warli a reçu de nombreux prix et s'expose à Mumbai et à New Delhi.
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